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Les jeunes d'aujourd'hui peuvent-ils encore croirent en leur avenir professionnel ?

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définition
Avenir professionnel : Situation sort de quelqu'un dans le temps à venir, évolution, destinée de quelque chose dans une activité de manière très compétente
27 mars 2018

0.1 Sommaire

0 Généralité

0.1 Sommaire

0.2 Définition

0.3 Bibliographie

1 Certe 1 jeune sur 5 a peur pour son avenir

1.1 Le chômage en France

1.2 Comparatif avec l'Allemagne et l'Europe

2 Cependant ils restent optimistes

2.1 L'optimisme des jeunes en France

 

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8 janvier 2018

78% des jeunes se disent "optimistes" concernant leur avenir

 

78% des jeunes se disent "optimistes" concernant leur avenir

10h03, le 21 novembre 2017, modifié à 10h36, le 21 novembre 2017

78% des jeunes se disent "optimistes" concernant leur avenirLes moins de 26 ans ne sont que 29% à faire confiance aux chefs d'entreprise. Image d'illustration. @ CHARLY TRIBALLEAU / AFP

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Pour autant, selon un sondage dont les résultats sont publiés mardi, ils sont aussi 54% à voir leur avenir à l'étranger. 

Les parents s'inquiètent-ils toujours pour rien ? Oui, à en croire le dernier sondage "Jeunesse et confiance", publié mardi par Le Parisien. A en croire ce baromètre, les jeunes de moins de 26 ans sont en effet loin d'avoir le moral en berne. 

De l'optimisme, oui mais... Sur ces trois dernières années, la confiance en l'avenir a gagné pas moins de neuf points. Les sondés sont ainsi 78% à se dire "optimistes" pour l'avenir. Cette vision en rose se conjugue aussi au présent puisqu'ils sont 74% à juger leur vie actuelle conforme à leurs attentes. Mais apparaît aussi dans ce sondage une jeunesse en décrochage, ni présente dans les études, ni présente dans le monde du travail. 58% des jeunes au chômage déplorent par exemple que leur vie d'aujourd'hui ne correspond pas à ce qu'ils en attendaient. Un autre chiffre vient aussi ternir cet optimisme : 54% des moins de 26 ans pensent qu'il leur serait plus facile de réussir en partant à l'étranger. 

Les parents aussi. Pour les parents aussi, la vision de l'avenir pour leurs enfants est un peu plus positive, comparé au sondage de l'an dernier. Ils ne sont plus que 60% à penser que la vie de leur progéniture sera plus dure que la leur, soit six points de moins qu'en 2016. 

Davantage confiance en la politique. Les moins de 26 ans, bien qu'optimistes, sont quand même lucides sur le monde qui les attend dans l'avenir. Ils ne sont que 29% à faire confiance aux chefs d'entreprise, un chiffre cependant en augmentation de 3%. Seulement un quart ont une opinion favorable des hommes et femmes politiques. Mais "il y a sans doute un effet Macron", selon Marc Vannesson, le président du Centre d'études et d'actions dédié aux jeunes Vers le haut. "Le discours porté pendant la présidentielle sur le renouvellement a manifestement touché les jeunes. Ils semblent adhérer à cette idée d'un nouveau souffle", analyse-t-il pour Le Parisien.

18 décembre 2017

Le pays avec le plus faible taux de chômage de l'UE n'est pas l'Allemagne

Le pays où le chômage est le plus faible au sein de l’UE n’est pas l’Allemagne, mais la Tchéquie, montrent des chiffres de l’agence statistique Eurostat. En juin, on ne recensait que 2,9 % de  Tchèques sans travail. Pour le même mois, l’Allemagne enregistrait un taux de chômage de 3,8 %, et au sein de l’Union européenne, le taux de chômage s’établissait en moyenne à 7,7 %.

Un taux horaire bon marché

C’est le faible coût de la main d’œuvre qui semble avoir été décisif dans cette réussite. En Tchéquie, le salaire horaire moyen est de 10,2 euros. Au sein de l’UE, il est de 25,4 euros, soit plus du double.

De plus, contrairement aux autres pays de l’UE, le secteur manufacturier est encore prépondérant dans l’économie tchèque, et de nombreux Tchèques y travaillent. Un emploi sur trois du pays est un emploi d’usine.

De grands constructeurs automobiles tels que Peugeot, Citroën, Hyundai et Toyota, attirés tant par le faible coût de la main d’œuvre, que par les subventions accordées par le pays, ont ouvert plusieurs usines dans le pays.

La République tchèque dépend des emplois d’usine

Mais ce qui semblait être une stratégie efficace à première vue, semble maintenant se retourner contre le pays. En effet, la pénurie de main d’œuvre a provoqué une hausse des salaires, qui pourrait nuire à l’économie du pays à court terme. La spécialisation de la République tchèque dans le travail ouvrier signifie que le pays n’a pas développé les compétences et les qualifications qui lui permettrait d’aborder des process plus sophistiqués, et d’accroître ainsi sa productivité.

Peu de Tchèques se lancent dans des études supérieures et le gouvernement tchèque doit mettre en place des incitations pour développer la main d’œuvre hautement qualifiée.

Enfin, une récente étude de l’OCDE a conclu que pour toutes ces raisons, la République tchèque, comme la Slovaquie (dont l’économie repose également largement sur l’emploi ouvrier), sont très vulnérables à l’arrivée de l’automatisation, susceptible de provoquer de très nombreuses destructions d’emplois.

Auteur : Express.live

Source : https://fr.express.live/2017/08/09/chomage-ue-tchequie/

Résumé : Cet article publié par Express.live le 9 aout 2017 montre le pays eyant le plus faible taux de chomage d'europe n'est autre que la République Tchèques avec un taux à 2,9%, devant les plus grandes nations comme l'Allemagne à 3,8%. Le secteur manufacturier étant très présent et la main d'oeuvre peut chère permet d'avoir un taux aussi bas, ce qui peut par ailleur mener par la suite à la destructions d'emplois du à l'arrivé de l'automatisation.

18 décembre 2017

Image : Taux de chomage en Europe

Résultat de recherche d'images pour "taux de chomage le moins eleve en europe"

 

Résumé : Cette carte légendé montre le taux de chômage dans certains pays d'Europe 

18 décembre 2017

Le chômage en France

Le taux de chômage en France a atteint des records avant une légère baisse courant 2016, s'établissant à 3,73 millions de personnes sans aucune activité inscrites à Pôle emploi en avril 2017, ouvrant les droits pour toucher l'assurance chômage. L'établissement public a vu affluer 549 200 chômeurs supplémentaires pendant le quinquennat de François Hollande, dont la promesse électorale était "d'inverser la courbe". Son successeur Emmanuel Macron table d'ici 2022 sur une réduction à 7%, tout en confiant à la ministre du Travail Muriel Pénicaud son projet de réforme de Code du Travail. D'après les statisticiens de l'Insee, la baisse devrait se poursuivre à court terme.

Exprimé en pourcentages, le taux de chômage en France depuis 2003 et son évolution (au sens du Bureau international du travail, ou BIT, dans le cadre de l'Enquête Emploi).

Exprimé en pourcentages, le taux de chômage en France depuis 2003 et son évolution (au sens du Bureau international du travail, ou BIT, dans le cadre de l'Enquête Emploi).

Insee

Auteur : l'Insee

Source : https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/le-chomage-en-france_1492271.html

Résumé :

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18 décembre 2017

Apprentissage: comment l'Allemagne met la France KO

infographie, apprentissage

Certes, en France, la voie professionnelle ne se résume pas à l'apprentissage (il y a aussi les contrats professionnels et les lycées professionnels). Ce qui biaise -un peu- ces chiffres. Force est de constater: le système français fonctionne moins bien «en matière de responsabilités entre les acteurs, de la valeur sociale accordée aux voies professionnelles, et des modes de reconnaissance de la qualification dans l'emploi et la carrière», assure-t-on au Centre d'analyse stratégique.

• Des cultures différentes

En Allemagne, l'apprentissage est une voie sélective (âge élevé et diplome à l'entrée), exigeante aussi bien pour l'apprenti que pour l'entreprise d'accueil (avec des contrats de longue durée). Il est considéré comme le mode d'accès quasi-exclusif aux emplois de qualification moyenne qui garantissent des débouchés professionnels satisfaisants et des perspectives de progression ultérieure dans des entreprises. «Dans un contexte démographique où la ressource en main d'œuvre qualifiée est rare, les entreprises sont fortement impliquées, quels que soient leur taille et leur secteur d'activité, et y recourent largement comme pré-embauche», assure Bertrand Martinot.

En France en revanche, l'apprentissage est depuis toujours davantage considéré comme un outil de la politique de l'emploi susceptible d'insérer les jeunes en échec scolaire. «L'apprentissage apparaît pour les entreprises comme un moyen pour elles de limiter leur coût du travail», estime Bertrand Martinot. Il est surtout pratiqué dans les TPE (très petites entreprises), dans des métiers relativement peu rémunérés, dont les perspectives professionnelles sont souvent médiocres et le plus souvent sans intention d'embauche à l'issue de la formation. Face à ce constat, les pouvoirs publics français ont encouragé l'apprentissage dans l'enseignement supérieur. Mais cela a eu pour effet de raccourcir la durée moyenne des contrats d'apprentissage: «Les entreprises et les écoles d'enseignement supérieur tendent à utiliser l'apprentissage comme une sorte de ‘super-stage'», analyse l'expert.

• Un système éducatif allemand plus efficace

La différence fondamentale entre l'Allemagne et la France en matière d'apprentissage se situe en amont, à l'école. Tandis que l'Hexagone a opté dans les années 1970 pour le collège unique pour les 11-15 ans, l'Allemagne a conservé pour cette tranche d'âge un système d'enseignement général éclaté.

Les jeunes allemands doivent faire un choix dès 11-12 ans, au moment de l'entrée dans le premier cycle de l'enseignement secondaire. «Dès lors, 60% des jeunes ne suivent pas un enseignement secondaire général mais sont orientés vers un enseignement professionnel de qualité, très majoritairement en apprentissage», explique Bertrand Martinot.

De son côté, la France donne théoriquement à tous les jeunes de moins de 16 ans les mêmes chances d'obtenir tous les diplômes possibles par la suite. Sauf qu'en réalité, les élèves sont marqués à vie par leur orientation (enseignement général, professionnel, différentes séries du baccalauréat...). Par ailleurs, même dans les filières professionnelles, l'enseignement général (français, histoire, mathématiques, etc.) reste trop fort et ne varie pas d'un cursus à un autre, tandis que l'enseignement pratique de la vie en entreprise est trop peu développé.

• Un financement «décourageant» en France

Une autre différence de taille réside dans le mode de financement du système. En Allemagne, en l'absence d'un mécanisme de mutualisation des coûts, la quasi-totalité de la formation pratique est à la charge des entreprises. En France, l'Etat et les régions restent les principaux financeurs d'un système d'apprentissage très complexe, au travers par exemple d'une multitude d'exonérations de cotisations sociales, d'aides pour les employeurs et des dépenses consacrées au fonctionnement des Centres de formation des apprentis (CFA).

Cette complexité s'accompagne en France d'une forte instabilité juridique que politique. Les aides financières à l'apprentissage ont été rognées au début du quinquennat de François Hollande, avant d'être rétablies sous d'autres formes en 2015. Une pagaille qui a découragé un peu plus les entrepreneurs, qui sont déjà perdus à l'idée de savoir combien ils vont devoir payer leur apprenti: en effet, selon son âge et sa qualification, il touchera 25%, 37%, 41% ,49%, 53%, 61%, 65% ou 78% du smic. Et encore, si la branche concernée n'impose pas d'autres taux...

• Une organisation bien trop compliquée en France

En Allemagne, l'ensemble des politiques de formation, de l'enseignement professionnel et de la recherche sont pris en charge par un même ministère. Alors qu'en France, le ministère de l'Éducation nationale gère l'enseignement professionnel scolaire mais partage avec le ministère du Travail la responsabilité de l'apprentissage...

Côté organisation générale, en Allemagne, le niveau central agit comme une tête de réseau de tous les organismes régionaux responsables de la formation professionnelle et associe étroitement à sa gouvernance les partenaires sociaux et les Länder. Ces derniers mettent en place la politique nationale et assurent seuls la tutelle et le financement des écoles professionnelles.

Alors qu'en France, -c'est quasi-inexplicable- les régions conventionnent et subventionnent (sur des montants compliqués à calculer) les CFA. Elles élaborent aussi ledit «contrat de plan régional des formations et de l'orientation professionnelles», qui inclut aussi bien l'apprentissage que l'enseignement professionnelle par voie scolaire. Un contrat «qui doit être cosigné par le préfet de région et le recteur. Quant à l'approbation du contrat par les partenaires sociaux, elle n'est que facultative», explique Bertrand Martinot.

• Pas de lisibilité en France

Autre exemple significatif: en France, les offres des entreprises et les demandes des jeunes restent éclatées entre le service public de l'emploi (SPE), Pôle emploi et les missions locales et ne sont pas rassemblées. Le site pôle-emploi.fr ne propose pas de service dédiée aux candidats à l'apprentissage: ils doivent trouver un employeur et un CFA par eux-mêmes. En Allemagne, l'équivalent de Pôle emploi propose une entrée spécifique pour les apprentis sur son site, avec des offres claires classées selon les référentiels des 331 métiers éligibles à l'apprentissage... mis à jour régulièrement selon les besoins des entreprises.

Auteur : Marine Rabreau

Source : http://www.lefigaro.fr/economie/le-scan-eco/dessous-chiffres/2016/01/08/29006-20160108ARTFIG00005-apprentissage-comment-l-allemagne-met-la-france-ko.php

Résumé : Le 8 janvier 2016 Marine Rabreau, chef d'édition service économie publie un article dans le Figaro comparant l'apprentissage entre la France et l'Allemagne. Cette article montre un nette avantage à l'allemagne dans ce secteur, et des statistiques plutots encouragentes, par exemple le taux de chomage chez les jeunes en Allemagne est de 7,8% et 24,8% en France. Plusieurs facteur sont en jeux pour permettre à l'apprentissage d'être plus bénéfique, et l'allemagne a sun les gérers : le financement, la culture, l'education...

18 décembre 2017

Emploi : 53% des jeunes optimistes pour leur avenir professionnel

Un jeune sur cinq reste inquiet pour son avenir. Les garçons se montrent plus confiants que les filles.

Si le nombre de chômeurs a enfin reculé en 2016, les jeunes restent partagés au sujet de leur avenir professionnel. Selon une étude de l'Insee, un peu plus de la moitié des jeunes de 18-19 ans interrogés se déclarent plutôt optimistes quant à leur avenir professionnel (53%), un jeune sur cinq se montre plutôt inquiet (21%) et 19% sont sans avis. Les garçons se démarquent des filles avec une vision de leur avenir professionnel plus optimiste alors même qu'ils ont un parcours scolaire généralement moins favorable. En effet, 57% d'entre eux seraient confiants pour l'avenir, soit 7 points de plus que les filles.

» Lire aussi - Emploi: le sort des jeunes est préoccupant en France

À 18 ans, seuls 45% des jeunes entament des études supérieures, 30% restent scolarisés dans le secondaire et 25% ont quitté, à titre définitif ou provisoire, l'école. Selon les résultats publiés par l'Insee, les études supérieures ne semblent pas peser de manière déterminante dans l'optimisme des jeunes. En effet, 68% des apprentis du secondaire et 62% des jeunes qui ne suivent plus d'études mais ont un emploi envisagent leur avenir professionnel avec optimisme. Les jeunes plus proches du marché du travail apparaissent donc plus optimistes.

Au contraire, les étudiants réalisant leur première année à l'université ne sont que 47% à se dire optimistes, presque autant que les jeunes sans emploi: 43%. En outre, les élèves des Classes Préparatoires aux Grandes Écoles (CPGE) affichent un optimisme sensiblement plus élevé: 64 % envisagent favorablement leur avenir professionnel et seuls 11 % se déclarent inquiets. Cet optimisme est partagé par les étudiants du secteur paramédical et social (62 % d'optimistes, 16 % d'inquiets). Une récente étude de la Dares donne raison à ces étudiants puisque les métiers du secteur représenteraient désormais plus de 10% de l'emploi total. Plus de 2,6 millions de Français y travailleraient, soit deux fois plus qu'il y a trente ans.

Deux tiers des enfants de cadres poursuivent des études supérieures

Pour les jeunes de 18 ans qui ont déjà arrêté leurs études, peu diplômés, l'accès à l'emploi est difficile: seuls 37% d'entre eux travaillent, 44% sont à la recherche d'un emploi, les autres étant souvent en situation d'attente avant une reprise d'études. Lorsqu'ils travaillent, ces jeunes ayant quitté le système scolaire occupent le plus souvent des emplois temporaires: 41% sont en contrat à durée déterminée (CDD) et 18% en intérim. Enfin, la plupart de ces jeunes vivent encore chez leurs parents, même lorsqu'ils ont un emploi (78%).

Toutefois, la possession d'un diplôme favorise l'accès à l'emploi: près de la moitié des jeunes de 18 ans avec un diplôme occupent un emploi en mars 2015, contre un quart parmi ceux non diplômés. En revanche, le type de contrat de ces premiers emplois diffère peu selon que le jeune dispose d'un diplôme ou non.

» LIRE AUSSI: L'insertion des jeunes reste un parcours du combattant

La situation des jeunes diffère aussi selon leur origine sociale. Deux tiers des enfants de cadres poursuivent des études supérieures quand seulement un tiers des enfants d'ouvriers et un cinquième des enfants dont les parents sont sans profession les poursuivent.

* Pour l'étude, l'échantillon des jeunes comprenait à l'origine 35 000 jeunes, représentatifs de l'ensemble des élèves entrés en 6e en 2007, en France. 81,2 % ont répondu à l'enquête.

Auteur : Elodie Tymen

Souce :http://www.lefigaro.fr/emploi/2017/02/02/09005-20170202ARTFIG00194-emploi-53-des-jeunes-optimistes-pour-leur-avenir-professionnel.php

Résumé : Publié le 2 février 2017 Elodie Tymen publie un article dans le Figaro montrant des statistiques sur l'avenir des jeunes. L'optimisme des jeunes, le nombre de diplomés et l'accès a l'emplois sont mis en statistique. 

18 décembre 2017

Sociologie de la jeunesse

Présentation

La jeunesse est une catégorie aux contours incertains. À quel âge débute-t-elle, à quel âge finit-elle ? La sociologie montre que la jeunesse est avant tout un passage dont les frontières et la définition ont évolué au cours de l’histoire et se modulent selon les situations sociales. L’affaiblissement des rites de passage, l’allongement des transitions professionnelles et la prolongation du temps des expériences qui tendent à repousser toujours plus tard l’accès à un plein statut adulte font que la jeunesse se décompose désormais en plusieurs phases – de l’adolescence au statut de jeune adulte – que ce livre tente de décrire. Devenu un « classique » du sujet depuis sa parution initiale en 1991, l’ouvrage repère et explique les évolutions significatives entraînées par ce mouvement général de recomposition sociale que la jeunesse subit parfois douloureusement. Cette 5e édition prolonge et approfondit la présentation des résultats européens portant sur les jeunes. Elle actualise également l’ouvrage en présentant les travaux récents ayant porté sur l’entrée dans la vie adulte, les valeurs des jeunes, les comportements sexuels et la culture adolescente. Olivier Galland, sociologue, directeur de recherche au CNRS, travaille au Groupe des méthodes de l’analyse sociologique (Université Paris IV et CNRS). Il est spécialiste des questions de jeunesse.

Auteur(s) : Galland, Olivier

Source : https://www.cairn.info/sociologie-de-la-jeunesse--9782200270087.htm

Résumé : Cette article publié dans cairn.info par Galland Olivier definit la jeunesse. La jeunesse est une parti de notre vie dont on ne connait pas son commencement ni sa fin. Elle est définit en plusieurs phases et selon des rites de passage. Celle ci evolue au cour de l'histoire et selon les situations sociales

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